Selon Kanta Singh, les mentalités évoluent cependant rapidement en Inde, surtout chez les jeunes qui pensent tout bas ce que Kushboo a dit tout haut. Mais pour l'heure, le Kama Sutra devra rester caché encore un temps au fond des bibliothèques indiennes.
Espérons que ce tabou tombera, dans un pays encore soumis à la tradition du mariage arrangé mais où la jeunesse le conteste de plus en plus.
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